As we move away from fossil fuels to renewables, new technologies point to a cleaner energy scheme by decreasing the amount of greenhouse gases (GHG) emissions. In a planet with only 1% of fresh water, it is imperative that the new energy system pursues to decrease the water footprint (WF). Because a low-carbon footprint doesn’t necessarily mean a low water use. The water footprint (WF) is defined as the total annual volume of freshwater used to produce goods and services related to consumption.
L’eau représentant environ 70 % de la surface de la terre, difficile de s’imaginer que la pénurie d’eau nous affectera de sitôt. Malheureusement, un rapport inquiétant du World Resources Institute (WRI) publié l’année dernière a révélé qu’environ un quart de la population mondiale subit un stress hydrique extrêmement élevé.
La croissance économique a été identifiée comme étant l’un des principaux facteurs contribuant à l’accélération de la pénurie d’eau dans le monde, l’expansion démographique et l’urbanisation croissante ajoutant aux pressions sur les ressources en eau douce limitées. Le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) a publié en 2016 un rapport examinant la possibilité de découpler la consommation d’eau de la croissance économique – essentiellement, en passant à des formes de consommation d’eau plus durables sans pour autant réduire la croissance – et indiquant que la moitié du monde pourrait être confrontée à un grave stress hydrique d’ici 2030 si cet objectif n’est pas atteint. Mais comment y parvenir dans la pratique et quelle est la probabilité que cela se produise ?
Pour instaurer une société économe en eau, il convient de modifier la manière dont nous utilisons et gérons l’eau. Cela concerne en particulier les entreprises, étant donné qu’environ 88 % de l’approvisionnement mondial en eau est utilisé à des fins commerciales. Toute entreprise souhaitant mettre en œuvre une stratégie durable de gestion de l’eau ne doit pas sous-estimer la force de sa communication, de sorte que son message atteigne le public cible de façon pertinente. L’engagement et l’information des parties prenantes sur la stratégie et les efforts en matière de gestion de l’eau peuvent renforcer les mesures et faire valoir le potentiel d’économie.
En pensant à l’avenir, l’une des choses qui nous vient à l’esprit est la croissance démographique attendue dans les années à venir. La disponibilité des ressources en eau, en particulier, est l’une des crises les plus graves, avec des implications considérables pour de nombreux autres défis mondiaux apparentés : la pauvreté, la faim, la dégradation des écosystèmes, la désertification, le changement climatique, et même la paix et la sécurité dans le monde.
Environ 71 % de notre planète est recouverte d’eau, dont la plupart est saline (97 %) ou gelée dans des calottes glaciaires et des glaciers (2 %), seul le 1 % restant étant de l’eau douce.
Le printemps arrivant, il est bon de réfléchir à des dispositions saisonnières efficaces pour faire face aux saisons plus chaudes. Les sécheresses deviennent de plus en plus un problème, et non pas uniquement dans les pays les plus chauds où elles sévissent traditionnellement
Les entreprises sont responsables de 88 % de la consommation mondiale d’eau (69 % pour l’agriculture et 19 % pour les autres industries). Il est donc vital qu’elles soient en première ligne pour relever les défis de demain dans le domaine de la gestion de l’eau.
L’UE a une politique de construction écologique qui exige que les nouveaux bâtiments soient neutres en énergie d’ici 2020. En pratique, cela signifie une promesse à veiller à une utilisation plus efficace de l’eau dans les bâtiments
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